Une étude réalisée par une équipe de psychologues de l’Université Brigham Young (BYU, Utah) pendant 6 ans (la plus longue étude réalisée sur les jeux vidéos) parue en 2020 démontre qu'en réalité 90 % des joueurs ne jouent pas de manière nuisible ou avec un risque de conséquences négatives pour leur santé mentale à long terme.
Pour les 10 % considérés comme "addicts", leur pratique impacte très négativement leur santé mentale : isolement social, manque de sommeil, état dépressif et anxieux , déconnexion au monde réel et échec scolaire.